Il faut bien mourir un jour. Je le sais mais j’aurais voulu que tu restes parmi nous. C’était bon de te savoir vivant. En tes doigts, ton esprit, en tes veines, fourmillaient mille idées juvéniles et bienveillantes. Et la source ne se tarissait pas. Tu t’es endormi dans la nuit du 8 au 9 février … Lire la suite de Ma lettre à Tomi Ungerer
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